Passer 3 jours à Séville, c’est inévitablement se balader, flâner, découvrir et bien évidemment manger, boire et dormir… ! Du coup avant ces quelques billets très touristiques, en voilà un autre avec toujours des photos (trop) pour contenter ceux qui ne pourraient pas aller faire un tour dans cette ville splendide qui m’aura ravi les yeux ce weekend durant.
L’intérêt de la ville réside essentiellement dans son quartier central, le barrio de Santa Cruz, à la fois historique et vivant, regroupant l’essentiel des monuments et endroits à vivre plus tard le soir… Le matin et jusqu’à midi, on y découvre des ruelles calmes, fraîches et agréablement désertes, on s’adosse à un mur, on dégaine l’appareil pour tenter de rendre une part de l’atmosphère, avec plus ou moins de succès.
Mais plus encore que ces ruelles, ce qui séduit à Séville, c’est la verdure, omniprésente. Patios, placettes, tout est bon pour planter un arbre, une haie, un oranger ou toute autre fleur ornementale et source d’ombre et de fraîcheur. Un délice.
Le soir, c’est une balade le long du Guadalquivir qui nous occupe… la journée étant bien trop chaude sur les bords du fleuve et finalement assez peu intéressante ! Et puis cette tonnelle, juste derrière le palais de l’Alcazar, magnifique. Et tellement de d’appartements et de maisons à vendre… tentant !
Décidément, Séville est magnifique de bout en bout… On en redemande et on prend des adresses, pour le cas où l’on reviendrait, ce qui se fera peut être à la fin de l’année, qui sait !
Enfin rien de transcendant niveau adresses si l’on excepte les bains arabes de Séville, un délice à s’offrir absolument ! Et c’est là que ça se passe : Aire de Sevilla… Un ensemble de trois bains à 36 puis 40 puis 16°c, un jacuzzi absolument parfait, un hammam et enfin un bain d’eau salée, sans oublier le petit massage de 15 minutes et la salle fraîche, thé à la menthe inclus. Le pied. Deux heures de délassement et de bonheur, absolument parfaits après des journées de visite et dont l’on ressort complètement relâché. A faire absolument !
© Aire de Sevilla
Alors, Séville, quand est-ce qu’on y retourne ?