L’histoire, tout d’abord, celle d’une jeune fille qui n’a jamais connu son père et qui à l’aube de son mariage décide de fouiller dans le passé de sa mère pour en découvrir l’identité. Elle se retrouve confrontée à trois pères potentiels qu’elle décide d’inviter pour son mariage afin de découvrir la vérité.
Parmi les acteurs choisis, on retrouve des « grands » tels Pierce Brosnan et Meryl Streep, en passant par Colin Firth. Des acteurs dont le talent est certes discutable, mais dont les capacités lyriques sont définitivement chiatiques. Torture auditive qui dure tout de même 1h50 !
La mise en scène est basique, les décors artificiels, le jeu des acteurs trop forcé … on en vient à appréhender le début de la prochaine chanson et on commence à souffler quand on sent que la chanson touche enfin à sa fin. Le générique, annonciateur de cette liberté tant attendue, est également illustré de chansons, de bêtisiers et de ridicule …
Il est fort dommage que toutes ces bonnes idées mises bout à bout rendent ce film irregardable, car le concept aurait pu valoir qu’on le défende.
Le meilleur synonyme trouvé à ce jour pour « Mamma mia » : bouse intersidérale !