Récemment, je suis allé faire un tour chez ebuzzing, dans les locaux de cette petite start-up qui fait pas mal grincer des dents un certain nombre d’acteurs des blogs. De mon côté, en tant que bloggeur non influent et pas toujours au fait des sombres stratégies impérialistes des différentes agences et puis aussi en tant que personne (parce qu’un blog, je vous le rappelle, c’est aussi une personne (ou deux pour ici mais bref)), je les aime bien chez ebuzzing.
En écrivant cela, je viens de me couper frontalement et volontairement de toute offre potentielle de campagnes rémunérées par d’autres agences qui n’aiment pas les tenanciers de la boutique au logo bleu. Bon, en même temps, ça tombe bien, je ne comptais pas en faire étant donné qu’au final, c’est la même came. Et qu’on ne vienne pas me parler de ciblage ou je meurs de rire. Merci.
Bref, lors de cette petite soirée, on m’a à posteriori demandé si c’était « champagne et olives ». Sous-entendu qui m’a beaucoup fait rire et étonné de la part de quelqu’un que j’apprécie à la base. Les soirées chez ebuzzing ne seraient pas hype, ne seraient pas agrémentées d’un buffet de malade, genre VIP, tout ça tout ça … Oui. Euh. Certes. Mais comment dire … le but n’est pas de nous présenter le dernier mascara, de nous filer un cadeau High-tech ou de fêter l’anniversaire d’une marque … le but c’est juste de discuter entre gens de bonne compagnie, de réfléchir un peu et d’osciller entre le formel et l’informel. Sans pression, sans cette notion observée partout qui consiste à masturber le bloggeur dans le sens de la bite.
Alors, pardon, mais le champagne n’est même pas obligatoire dans ce genre de cas, à mon sens (bon, il y en avait, moi ça me va). Ni les olives d’ailleurs (ça tombe bien, il n’y en avait pas).
Alors, pardon, mais le champagne n’est même pas obligatoire dans ce genre de cas, à mon sens (bon, il y en avait, moi ça me va). Ni les olives d’ailleurs (ça tombe bien, il n’y en avait pas).
Ah oui, j’oubliais, cet article n’est pas sponsorisé (mais je veux bien être payé, hein, quand même).