L’amour dans la rue, selon K.

 Hier soir, j’étais invité par B-R-M (la partie blog de Tribeca) à un concert promotionnel pour la sortie du premier album d’un charmant jeune homme : K. (alias Nicolas Michel). Ah pardon, j’oublie le nom de l’album : l’Amour dans la Rue … tout un programme.
Pour être totalement honnête, je ne connaissais pas ce jeune talent avant de mettre les pieds à la Boule Noire. Je suis parti du principe que ne le connaissant pas du tout, cela serait une surprise totale et honnête que de le voir en concert, comme ça, directement. Après, en bien ou en mal, là était la question !
Je vais vite en besogne … revenons d’abord au début de la soirée. Rendez-vous à 19h50 devant la boule noire avec Sylvain (notre GO, si je puis me permettre), Joëlle, Beorn et (des gens adorables, pour de vrai hein, pas de bisounours ici). Papote papote plus tard (iPhone, batterie photo, etc.), nous voilà rentrés avec comme missions les points suivants : prendre des photos (valables si possible) et écouter.
Pour la prise de photos, je me suis senti ridicule, Beorn ne faisant pas dans la dentelle (cofondateur de Lense et picard, c’est normal) et Joëlle étant ma « prof pédagogue » … mais voilà deux de mes clichés dont je ne suis pas trop mécontent ! (y clique)
Pour l’écoute, ce qui était quand même la partie la plus importante, on va faire simple et concis : j’aime.
K nous entraîne dans son oeuvre aux styles multiples, morceaux parcourus autour d’un clavier, d’une batterie et parfois d’une belle petite guitare (dixit un amateur) … Les textes oscillent entre l’engagement, le grave, le joyeux mais le tout reste plein de poésie et est parfaitement ryhtmé et accrocheur ! J’avoue avoir loupé quelques morceaux lorsque je prenais les photos, mon écoute d’aujourd’hui m’a parfois mis les larmes aux yeux, ce qui est clairement rare pour moi dans le cadre de l’écoute d’un album.
Une vraie bonne surprise donc, là où j’attendais avec un peu d’appréhension un énième chanteur sans voix et sans trop de textes, figé dans un style unique. K nous montre avec cet album qu’il peut tout faire, nous faire rire, nous émouvoir, nous faire pleurer, nous « toucher » … et c’est bien là la marque de quelque chose de prometteur !
Cette sensation de toucher un bout de lumière a été confirmée par une brève papote avec lui en fin de soirée : accessible, curieux, perfectionniste, drôle, simple … Pourvu que ça dure !
En fait, je crois que presque toutes les chansons me plaisent dans cet album mais s’il en est une qui me touche plus particulièrement (plus encore que celle sur son père en fin de concert qui m’a retourné, mais je suis forcément un poil sensible sur ce thême …), c’est « Je suis bien ».
Cette chanson, c’est Alice et moi. L’écouter, c’est me rendre compte de ma chance et du bonheur qui a parfois tendance à se cacher derrières les conneries du quotidien … Un seul voeu donc, que vous aussi vous vous retrouviez dans cette chanson (du moins de la manière dont je l’interprète) …
Comme je suis gentil, je vous en propose une écoute ci-dessous, en plus de « l’amour dans la rue », une valse enlevée et pleine d’ivresse que vous trouverez dans la bannière de pub en haut à gauche (ou ).
{mp3remote}http://www.viinz.com/images/stories/audio/jesuisbien.mp3{/mp3remote}
Et vous savez quoi ? Demain matin … j’ai des CDs à vous faire gagner …
Conclusion de tout ça ? Une très bonne soirée, merci Sylvain, merci Wagram, merci K et puis merci Joëlle … On remet ça quand vous voulez.