J’aime quand ça saigne …

Ce matin, alors que j'ai au moins 10 billets sous le coude mais que je n'ai pas le temps de les écrire dignement, je vais plutôt fait un billet d'humeur.
 
Pas sur n'importe qui ou n'importe quoi hein, sur des choses IMPORTANTES.
 
Vous l'aurez sûrement remarqué depuis quelques temps, je suis quasi absent des blogs de filles … Je lis, je zieute mais je crois qu'au final je me désintéresse petit à petit de la blogofille. Il faut dire qu'il ne s'y passe rien d'extraordinaire ces derniers temps hein … C'est stable, ça va de buzz en buzz, ça cancane à qui mieux mieux, ça se flatte, ça sort des photos de mode ou ça raconte son quotidien, voire ça parle de fashion-week. La blogofille quoi, fidèle à elle-même, sans trop d'intérêt … mais un blog a-t-il de l'intérêt, je me le demande. Cette remarque est bien entendu valable pour le blog que vous avez sous les yeux en ce moment … 
 
Mais bref, voilà qu'arrive quelque chose de bien nouveau, qui sort vraiment de l'ordinaire !

Spike et Gallïane associées pour le meilleur = le foutage de gueule salvateur qu'il fallait à ce milieu rempli de connasses. Le "connasses" en question n'étant pas celui que je réserve habituellement à celles que j'apprécie et qui se reconnaîtront si tant est qu'elles lisent ce billet.

Bref. J'ai découvert le billet de CD grâce au zhom de Spike … et vu fleurir dans la foulée les saillies des deux dames avec un bonheur non dissimulé.

Pour être honnête, lors de mon altercation avec une autre de ces "grandes" de la blogo, alias Deedee, j'avais préféré retirer mon billet récapitulatif … Je ne voyais pas trop d'intérêt à continuer à faire saigner une plaie qui me faisait rigoler !
J'avais aussi beaucoup rigolé quand une autre "grande" de la blogo, alias Pensées de Ronde, m'avait contacté pour savoir quelle mouche m'avait piqué d'aller à dire à la reine Delphine que sa photo était une horreur. Intérêt assez amusant quand on connaît l'histoire qui a amené les deux à se rapprocher blogosphériquement parlant.
 
Gallïane et Spike, que j'appréciais au demeurant avant leur sortie de route volontaire, ont eu plus de couilles que moi.
 
Elles ont affiché leurs pensées, leurs critiques, leur dégoût. Chapeau bas mesdames, je viens de prendre une belle leçon de courage … et je me dis qu'il serait quand même temps que je vide mon sac, un jour.
 
Parce que finalement, j'aime bien quand ça saigne.