Pfffffffff…

J'ai publié deux billets ce matin… Je crois que ça faisait bien longtemps que je n'avais pas écrit un truc autant à l'arrache et avec aussi peu de passion et d'intérêt pour ce que j'écrivais. Ce vieux con de Rod me l'a bien fait remarquer en plus, la Sweet Fairy aussi : pas de photo, pas de lien, pas d'image chopée sur l'ami Google, kedal. Ecriture à la va-vite, basique, je m'en tape.
 
Weekend de rêve encore… De samedi à mardi, j'étais ailleurs, hors du temps, avec celle qui m'apprend à nouveau ce que sont les sentiments partagés. Mercredi, le Mans, le robot Evoia est parti pour se balader pendant 24h. Retour au boulot l'après-midi. Et là, même si j'ai beaucoup de choses à faire, l'envie de travailler ne vient pas, elle n'est toujours pas venue aujourd'hui. Ce que j'ai à faire m'intéresse, me stimule mais j'ai le coeur qui se balade ailleurs, à quelques milliers de kilomètres de moi. Là où elle sera demain.
 
Les semaines à venir s'annoncent difficiles, au fond. Beaucoup de boulot, beaucoup de choses à rattraper. Un budget à boucler tant bien que mal aussi, les weekends ont fait mal, très mal, mais ils en valaient tellement la peine. Et puis trouver un nouvel équilibre, sans elle. Frustration, envies, sentiment amoureux. Quelle torture, quel plaisir… mais comme dirait la sage qui aime le tartare et le foie de veau, la fadeur n'a pas d'intérêt, elle ne fait pas grandir… 
 
Grandir. C'est ce que je fais en ce moment. J'apprends. Je découvre. Je m'enrichis. Et j'ai des projets qui s'entassent dans mon crâne… Pourvu qu'ils deviennent réalité. Pourvu que…